L'intelligence émotionnelle et affective (IEA)

Le constat initial, la relation et l'affection
sont au coeur de nos vies

Nous sommes des êtres sociaux, grégaires mais aujourd’hui, les conflits, la violence et les peurs font rempart à ce besoin fondamental de lien. La relation est un besoin vital. Le lien à soi, le lien à l’autre n’est donc pas négociable.

Nous sommes né(e)s de la relation (amoureuse), nous grandissons par la relation (affective), nous sommes influencé(e)s par les relations (amicales), nous nous réalisons dans nos relations professionnelles (j’aime ce que je choisis de faire), nous existons par nos relations personnelles (j’aime ceux qui m’entourent).

1ère Observation : l’importance de la relation dans notre vie. Elle est au cœur de notre vie et pourtant nous n’avons pas, ou peu, été préparé(e) ni accompagné(e) à construire des relations saines, satisfaisantes, conscientes, bienveillantes, versus non violentes.

2nde Observation : l’émotion et l’affection sont aussi au cœur de notre vie et pourtant nous restons souvent ignorants, rejetants voir méprisants de celles-ci. Lorsque nous avons peur, ou plutôt, parce que nous avons peur, parce nous sommes mal à l’aise, parce que nous souffrons, alors nous adoptons souvent une attitude de fuite, de lutte, de mépris ou de soumis face à nous-mêmes et à l’autre. Nous devenons plus violent qu’aimant.

Oser donc vous sentir, vous dire, vous vivre et apprendre à exister réellement, pleinement, authentiquement tel que vous êtes… 

et non plus tel que vous pensez, tel que vous croyez, tel qu’il faut ou tel que vous avez été formaté, éduqué, conditionné.

Quand et pour Quoi être accompagné(e) avec l'IEA ?

Lorsque je lutte contre l'autre, que je crie, fuis ou cherche à avoir raison et ainsi prendre du pouvoir sur lui ou elle, bien inconsciemment et malgré moi, à l'inverse de mes valeurs et de mes besoins le plus souvent.

Lorsque je refoule mes sensations, critique mes émotions et crée des scénarios catastrophes pour nier ma réalité présente souvent désagréable et perdre le pouvoir sur soi à ce moment là.

Lorsque je mens et que je résiste à ma peine, refoule ma colère, ignore ma tristesse, banni mon désespoir, nie ma peur pour paraître fort, correct ou "comme il faut" voir pire, pour avoir l'air digne ou parfait.

Difficultés externes

Conflits internes

Problèmes émotionnels

Ce sont les conflits avec des personnes extérieures comme nos parents, nos enfants, nos ami(e)s, notre conjoint ou des collègues, des employeurs, des autorités. En fait, toutes personnes avec qui nous avons des relations quotidiennes que nous souhaitons améliorer et non continuer à subir. Ici, être prêt(e) à ne plus vouloir changer l’autre mais à exister plus authentiquement face à l’autre et se dire avec ses peurs, ses doutes et ses limites.

Ce sont tous les conflits et les difficultés avec nous-même comme le manque de confiance, les peurs, la timidité, les jugements sur nous (“je suis trop ceci ou pas assez cela”), la difficulté à dire “je t’aime” ou à offrir/recevoir la reconnaissance, les luttes contre ses sensations de malaises mais aussi toutes les questions existentielles (sens de sa vie, qui suis-je ?, ou vais-je ? qu’est-ce que le bonheur ? ai-je une mission de vie ? rapport à la spiritualité et à la liberté ? etc).

Ce sont toutes les “crises” émotionnelles personnels (décès, divorce, déménagement, nouvelle rencontre, mariage…) ou professionnels (réorientation, licenciement ou promotion, humiliation ou pression, formation et réorganisation…), le rapport à la gratitude et aux remerciements, mais aussi les doutes face aux changements et autres “stress” de l’existence qui vous empêchent de créer votre vie à vos couleurs.

Pour élever sa confiance et son leadership

” Donnons du sens à nos vies avec la relation écologique

et œuvrons avec toutes nos intelligences

(émotionnelle, affective, rationnelle, sensoriel, pragmatique et irrationnelle…) en harmonie “.

être heureux est possible avec l'ANDC et la relation d'aide.