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Informations complémentaires sur la livre
AVANT PROPOS p10
INTRODUCTION p18
DEFINITION ET CRITERES DE RECONNAISSANCE DE CETTE « NOUVELLE » CULTURE p21
1ère partie : Un bilan necessaire, un état des lieux du terrain. p27
Chapitre 1 : D’où je viens ? p32
Chapitre 2: Qui je suis aujourd’hui ? p41
Chapitre 3 : Où je vais, qui je veux être demain ? p60
2ème partie : Des compétences à acquérir, un état d’esprit d’apprenti, de batisseur p73
Chapitre 1 : Identifier et apprivoiser ses émotions p74
Chapitre 2 : Honorer et déployer ses atouts p95
Chapitre 3 : Reconnaître et aller avec ses obstacles intérieurs p114
3eme partie: Les capacités à exercer, un état d’être de créateur p130
Chapitre 1 – Déployer nos capacités d’observation et d’imagination p131
Chapitre 2 – Amplifier nos capacités de satisfaction et de gratification p142
Chapitre 3 – Oser nos capacités d’affection et d’évolution p160
4eme partie: Des jeux pour conclure: le mind set du bonheur p173
CONCLUSION GENERALE 192
LES EXTRAS p199
ANNEXES p203
MES REMERCIEMENTS p207
LA BIBLIOGRAPHIE p209
TABLE DES MATIERES DETAILLEE p212
INTRODUCTION
C’est un jour d’hiver 1972 que naquit un « petit bonhomme » dans la grande société des humains, dans un pays dit civilisé et renommé pour son histoire chaotique et sa culture royaliste avant d’être « démocratique » : je vous parle de la France.
C’est un jour d’automne 2020 que naissait un « petit carnet de route » sur le grand réseau de l’Internet, dans un monde en crise et une période chaotique de remise en question des libertés : c’était sur Terre.
Entre ces deux dates, 48 ans de vie. Non, je ne peux pas dire cela si je veux être honnête avec moi, avec vous. Disons 20 ans de formatage ou d’éducation à un modèle de société qui ne soutient pas vraiment l’épanouissement de l’individu. 20 années « d’asservissement » à une normalité et à un « devoir faire » (ou pire, devoir être) qui atténuent progressivement la flamme de la vie. En parallèle, 20 années de quête et de recherche avec des crises, des remises en question, des essais, des erreurs et des errances. Oui, de 20 à 40 ans, j’ai navigué dans la « survie » mais aussi à l’exploration de trois grandes questions fondamentales pour moi : qui suis-je ? quel sens a la vie ? et qu’est-ce que le bonheur ?
Ma découverte a fait d’une pierre trois coups puisque, en répondant à l’une, j’ai répondu aux deux autres. Comprenez bien cela car c’est vraiment le plus important. Je suis ce que je choisis d’être et ainsi, ce que je suis donne le sens de ma vie et comme je le choisis, cela nourrit mon bien-être et mon bonheur. Oups, trop philosophique mon truc !
Bien, je reprends mon histoire. Tout a basculé dans ma vie, non pas avec une révélation mystique mais avec une rencontre en Alsace, celle de Mme Colette Portelance, Docteure en sciences de l’éducation. Elle animait une conférence sur l’intelligence émotionnelle et la relation d’aide. Ce jour-là, j’ai su et saisi à l’intérieur de moi l’importance de se connaître et de reconnaître son fonctionnement psychique et relationnel pour être heureux. La devise inscrite au fronton du temple de Delphes, « Connais-toi toi-même et tu connaîtras les Dieux et le monde », prit alors tout son sens. J’ai compris à cet instant que c’est en ME/SE connaissant, en cherchant à l’intérieur de MOI/SOI, en explorant ce monde inconnu des émotions puis des besoins que j’allais trouver le chemin vers mon bonheur et ma réalisation personnelle (et professionnelle par la suite). Le best-seller de Colette Portelance, Relation d’aide et amour de soi est par la suite devenu ma bible, pour me rappeler d’où je viens, qui je suis et où je veux aller, qui je veux être et ce que je veux soutenir, ce que je veux faire fleurir.
C’est donc en toute humilité que je vais vous partager ma vision du bonheur et les outils que j’ai utilisés, les compétences que j’ai dû mettre en œuvre, les qualités humaines que j’ai pu déployer et l’état d’esprit dont j’ai accouché (et que je continue à cultiver) pour être cet HappyCulteur aujourd’hui et vivre mon rêve d’une culture du bien-être et du bonheur, celle que j’ai appelée l’H.A.P.P.Y.Culture.
La bonne nouvelle, c’est qu’être heureux s’apprend, se cultive et se transmet d’une génération à l’autre. Cela lui confère donc sa triple importance : pour soi, les siens et le monde.
« Soyons le monde dont nous rêvons »
OBSERVATION:
Je vous rappelle ou informe que selon le livre de Bronnie Ware » Les 5 regrets des personnes en fin de vie » (édité en 2012) qui est tiré de son expérience de soignante en soins palliatifs, les 5 plus grands regrets sont donc:
- « J’aurais aimé avoir eu le courage de vivre la vie que je voulais vraiment, pas celle que les autres attendaient de moi. »
- « J’aurais dû travailler moins. »
- « J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments. »
- « J’aurais aimé garder le contact avec mes amis. »
- « J’aurais aimé m’accorder un peu plus de bonheur. »
