Je vous apporterais deux réponses:

la 1ère, au niveau individuel, est inspirée par mon cher ami et collègue Stéphane Duriez :

ma pratique d’accompagnement sert à aller bien lorsque tout va mal et aller mieux lorsque tout va bien.

la 2nde, au niveau collectif, est mon invitation et l’objectif de mon métier :

ma pratique d’accompagnement sert à transiter d’une culture de la peur et de la méfiance vers une culture de la confiance et de l’abondance.

Les deux marchent ensemble .

J’ajouterais que ce n’est pas lorsque la maison brûle qu’il faut prévoir les extincteurs. Prévenir vaut mieux que guérir. Mieux vaut développer ses compétences d’écoute de soi, d’accueil de ses émotions, d’identification et d’apprivoisement de ses peurs, de reconnaissance et de validation de ses besoins dans un environnement protégé, sain et bienveillant que de se lancer dans le feu et d’espérer sortir indemne d’une relation insatisfaisante voir toxique ou d’un environnement appauvri en écofacteurs positifs. 

Mon objectif est donc de vous aider à consolider votre confiance et votre sécurité intérieure pour être en capacité de vous affirmer de manière authentique, ferme et bienveillante (c’est à dire non violente). Je nomme cela  un leadership sain et créateur.

1h pour la régulation.

1 à 5 h pour des questions bien précises et avec des outils spécifiques comme la Méthode de Prise de Décision ou le CRAM-ART. Nous explorons ici un sujet particulier sur lequel vous souhaitez prendre une décision et/ou passer à l’action.

Pour la facilitation de manière générale, le temps et donc le nombre de séance varie en fonction du rythme de chacun, de la difficulté et de la profondeur du voyage. En moyenne, 3 à 6 mois pour une problématique légère et 1 an voir plus pour une difficulté ancrée depuis de très longues années. N’oubliez pas que c’est un processus d’apprentissage et de ré-éducation qui est fonction de vos capacités d’intégration et de votre neuro-psycho-physiologie mais aussi de votre environnement et entraînement.

Pour ceux et celles qui choisissent la thérapie comme un processus d’accompagnement de sa propre évolution, comme un moyen de conserver une hygiène psycho-affective et relationnelle sur du long terme, comme une aide à la croissance individuelle et collective, comme un outil de connaissance et de compétence, cela peut durer bien plus longtemps. 

Enfin, pour la formation, la durée est inscrite dans la convention ou le contrat.

Ce n’est pas un cabinet de psychothérapie car vous n’y trouverez pas de conseils ni de solutions médicales à vos problèmes. Je ne suis ni psy ni médecin. Pour moi, vous n’êtes ni malade, ni atteint d’une pathologie (sinon je vous référerais aux personnes compétentes) mais seulement en quête de résolution des conflits relationnels internes ou externes que vous vivez. Vous êtes à la recherche d’une plus grande connaissance sur l’émotion, sur la relation et sur la satisfaction de vos besoins d’être humain, pour être heureux tout simplement. Je n’accompagne pas les personnes malades mais seulement les personnes malheureuses. Mon job est de vous aider à mettre dans votre vie des actions qui correspondent à vos besoins affectifs et relationnels pour être heureux, en paix avec vous-même et avec l’autre, pour développer comme le dit Colette Portelance, l’amour, la confiance et l’estime de soi. Ces actions posées par vous-mêmes ont des effets bénéfiques et pourquoi pas « thérapeutiques ». Le bonheur, ça rend vivant et cela est la cerise sur le gâteau. Je m’en réjouis avec vous, mais ce n’est pas mon job ni mon intention. Comme je l’ai dit, je ne vous guéris de rien mais vous apprends à vous connaître et reconnaître, pour réaliser vos envies et aller de l’avant avec vos obstacles intérieurs (peurs, doutes, honte…), pour satisfaire vos besoins spécifiques et créer votre vie à vos couleurs, pour être heureux et satisfait de vous. 

Je peux donner deux réponse:

En théorie, c’est un cabinet de transition intérieure qui soutient le passage d’une éducation coercitive et violente à une rééducation permissive et bienveillante pour installer une culture de la confiance et de la co-créativité joyeuse que je nomme HappyCulture. (suivez ce lien : https://laurent-chesneau.com/happyculture-innovation-et-bien-etre)

En pratique, c’est un lieu d’accueil, d’écoute et d’apprentissage de votre réalité émotionnelle et affective. Vous apprendrez à être en relation avec vous-même et avec moi, au contact de vos sensations et de vos émotions dans un environnement professionnel adapté, sécurisé, confidentiel et formatif.

En somme, c’est un cabinet de (re)connaissance et de (re)connexion de la personne humaine à elle-même, de croissance de ses potentiels et d’aide à la relation affective privée et professionnelle.

L’objectif de mon travail  est de faciliter le développement de 4 Compétences, les 4C  :

• La Connexion à soi et la connaissance de son fonctionnement émotionnel et de son monde affectif,
• La Conscience de soi en relation et la connaissance de ses dynamiques relationnelles,
• La Chaleur humaine, c’est-à-dire cette sensibilité affective, cette Capacité à s’émouvoir nommée empathie, voir compassion. Dans un cadre professionnel, on appelle cela courtoisie.
• La Confiance en soi et en l’autre, c’est-à-dire cette capacité à créer, à se créer et à co-créer,  à devenir le créateur de sa vie privée comme professionnelle et pas seulement l’observateur ou pire, la victime. C’est aussi ce que l’on appelle la Créativité existentielle.

Dans mon cabinet, on apprend une nouvelle culture, la HappyCulture et l’on y cultive des compétences singulières : l’écoute totale de soi et de l’autre, l’aptitude à s’émouvoir et s’émerveiller, l’expression verbale authentique, sensible et affective, la liberté, la gratitude, le respect des différences et tous les autres SOFT SKILLS.

Pour trois raisons principales:

La 1ère d’ordre éthique. J’offre à mes clients une confidentialité totale et je me vois mal leur demander de témoigner sur mon site pour promouvoir mes activités.

La 2nde plus personnelle. Comment ne pas influencer la personne par notre propre demande. Cela manque de distance pour moi, je ne peux pas être juge et parti.

La dernière est que la relation professionnelle établie est unique, spécifique à chacun et ne peut donc pas servir de référence pour une autre personne. Chacun doit prendre le risque de faire son expérience avec moi et d’en tirer ses propres conclusions.

Voilà donc pourquoi je ne mets pas de témoignages sur mon site bien que je sache que certains de mes clients me réfèrent leurs amis et collègues. Je les envois sur ma page professionnelle de google s’ils me le demandent mais je préfère nettement plus « le bouche à oreille » plutôt que des recommandations publiques désincarnées. L’expérience sera toujours préférable à l’avis ou au témoignage.

Par choix et pour 3 raisons principales.

la 1ère est que ma vie est déjà bien pleine entre ma passion pour mon métier et mes loisirs. J’ai donc peu de temps et ne désire pas sacrifier mon temps libre pour une activité qui me paraît peu rentable affectivement, socialement et financièrement.

La 2nde est que je privilégie la relation authentique et la recommandation humaine, en d’autres termes « le bouche à oreilles » comme dit à la question précédente, et cela peut se faire aussi au travers de ses réseaux mais je n’en suis pas l’instigateur.

La dernière est que tous ses réseaux nourrissent le mental et l’intellect par une profusion d’informations et d’actions  souvent relatives, pas toujours pertinentes ni bienveillantes d’ailleurs. Ce sont souvent des moyens de publicité pour « attraper un client » et « faire consommer » et en cela bien utile certes à ma problématique de trouver des clients mais peu en lien à mon éthique. J’offre un service unique, personnalisé et spécifique, un processus professionnel qui se passe face à face, entre 4 yeux et dont la finalité est l’authenticité, la bonté, le plaisir d’être ensemble et la générosité de cœur. Et si les gens veulent me rencontrer, je trouve toujours un 15 à 30′ pour leur offrir un vrai temps de paroles et d’écoute et surtout, j’ai ce site et le blog qui expriment vraiment bien qui je suis et mes services. La vie est simple mais l’homme se la complique beaucoup. Dans ma pratique professionnelle, j’observe que ses réseaux deviennent des « tue l’amour » car les gens passent leur temps dessus au sacrifice de leur conjoint, leurs enfants ou leurs véritables ami(e)s. Une nouvelle drogue pour camoufler, voir pire, entretenir un manque profond, un vide affectif et existentielle qui s’accroît avec ce genre d’habitude, à passer son temps sur le net et les réseaux.

TOUT EST QUESTION D’ÉQUILIBRE.

Personnellement, je préfère vivre ma vie plutôt que la rêver et je suis en cohérence avec mon travail et ma devise « soyons le monde dont nous rêvons ». Je ne veux pas d’un monde artificiel, superficiel mais je ne rejette pas pour autant l’apport et la pertinence de ses réseaux ni de certaines personnes sur ses réseaux. J’y trouve aussi des réponses et des conférences utiles à mon évolution personnelle mais j’ai choisi de peu les utiliser pour le moment dans ma communication professionnelle. Peut-être qu’un jour j’y serais plus présent pour développer ma culture du bonheur.

Affaire à suivre …